Dans la soirée de ce mardi 10 mars 2020, le représentant spécial du secrétaire général des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et du Sahel, a rencontré la coordination du Front National pour la Defense de la Constitution (FNDC)
Selon Abdourahme Sanoh, La situation de la crise politique qui prévaut actuellement en Guinée. il était porteur d’un message visant à savoir selon le FNDC qu’elles peuvent être les solutions de sortie de crise au regard de l’opportunité de l’apaisement qui se présente actuellement dans le pays et qui a été favorisé par aussi bien et surtout le combat du FNDC que par la mobilisation la la communauté internationale. Nous lui avons donné notre problème en les appelants à recadrer leur vision de sortie de crise en comprenant que cette crise est d’abord sociopolitique. D’un côté, un président qui veut se maintenir au pouvoir en violation de la Constitution et de l’autre côté, un peuple sous la houlette du FNDC qui tient coûte que coûte à défendre la constitution. Tout le reste, qu’on parle du fichier, parle d’élection transparence, qu’on parle d’élection inclusive tous cela ne sont que des contingents. C’est très important. Il faut effectivement que des élections transparente inclusive dont les résultats peuvent être accepté par tous. Mais il faut d’abord régler les questions politiques liées aux tripatouillage de la Constitution que monsieur Alpha Condé veut imposer aujourd’hui dans une dictature noire. Nous avons, attiré son attention et interpeller les Nations Unies par rapport à la dictature qui se radicalise dans notre pays. les violations, les Intimidations qui existent, les violations de droit de l’homme, les violences d’État qui se produisent aujourd’hui et toutes les violences que nous voyons sans compter les morts d’hommes qui n’arrêtent de se développer, le terrorisme d’État qui s’est instaurée, les violations de droit qui continues et de nos lois qui continues pour que les Nations Unies et la communauté internationale puissent maintenant prendre leurs responsabilités face aux individus qui est entretiens cela, mais aussi face aux systèmes qui est tout à fait au aboie aujourd’hui et qui continu à produire la violance pour obtenir l’assujettissement des populations.
Le peuple ne compte que sur choix même. Le F.N.D.C continu à se battre. Nous savons très bien que le rôle et l’apport de la communauté internationale n’est pas à négligeable. Maintenant toute la communauté internationale parle d’une même voix. Il faut encore qu’on continue à travailler pour ces prises de positions puissent se concrétiser par des sanctions, mais aussi par des interventions vigueurs allant dans le sans à amèner M. Alpha Condé à comprendre que son projet, ne peut pas passer.
Est-ce que le FNDC est disposé à aller au dialogue avec le gouvernement envie de trouver une solution ?
FNDC est rigueuresement dans la logique de la paix. Qui défend les lois d’un pays, défend la constitution défend la paix. parce que les lois sont les normes qui permettent de garantir la cohésion, l’entente, mais aussi une gouvernance qui permette l’accès à une répartition équitable des richesses, mais aussi à sécuriser tout le monde. Dès lors qu’on soit gouvernant ou gouverner on commence à violer ces là, on rentre dans une situation qui favorise la violence est la menace pour la paix et la sécurité et de l’instabilité. C’est ce que malheureusement Alpha Condé est en train de faire. Et il explose a des risques dangereux est le pays, et les pays voisins. Aujourd’hui nous comptons très bêtement 42 morts. Nous avons des centaines de gens qui croupissent encore dans les prisons. D’autres qui en nont fait les frais. Nous avons des blessés dont plus d’une soixantaine qui sont devenus des handicapés à vie. Un pouvoir qui crée ces genres de situations. Vous voyez le traumatisme, la violence. Les kidnapping qu’ils ont installé comme mode de gouvernance, la terreur noire qui existe aujourd’hui dans le pays. Tout le monde se sans en insécurité. Personne n’est épargné sauf eux et les éléments de leurs clan. C’est vraiment une situation extraordinaire. Mais je ne suis pas sûr que cela puisse entamer la détermination du peuple et du FNDC parce que notre engagement est total. Et nous sommes prêts à aller jusqu’au bout dans la recherche de la préservation de droit, de la paix. Et cela passe forcément nous estimons par le dialogue. Même si aujourd’hui le pouvoir n’entend pas de cette oreille. parce que vous savez très bien qu’il a dit qu’ailleurs il y a des morts mais ça marché. Ça veut dire qu’ils sont prêts à la violence. Et cette violance on voit aujourd’hui comment elle est en train d’être déployée par la gendarmerie par la police. Mais notre engagement est total. Et nous allons continuer à nous tenir debout face au défi de la paix et la sécurité. A indiqué le patron du FNDC
Louis De Funès Diallo