Le président de la Haute Autorité de la Communication a exprimé que la presse guinéenne demeure libre, même si certains confrères ont été récemment incarcérés.le chef de l’État l’interpelle à chaque fois qu’un professionnel de média séjourne dans une maison d’arrêt.
« La presse est libre. Depuis que nous sommes à la HAC, personne ne m’a appelé pour me dire de suspendre un organe ou de sanctionner un organe. D’ailleurs, pour ce qui concerne le président de la République, quand il apprend qu’un journaliste est arrêté, souvent, c’est lui qui m’appelle pour dire je ne veux pas voir un journaliste en prison. Je me permets aujourd’hui de le révéler, et il me dit fait tout. Dites leur d’arrêter. Ils n’ont qu’à critiquer, ils n’ont qu’à faire les investigations mais qu’ils n’insultent pas et qu’ils ne traînent pas les gens dans la boue », a t-il confié, au micro de nos confrères de FIM
Diaraye Diallo pour Mondemedia.info