Au cours de l’audience, la répression sanglante des services de la CMIS Nº1 de la Camayenne en 2008 s’est invitée dans les débats. Soupçonné d’avoir planifié et orchestré cette répression, l’ancien ministre chargé de la sécurité présidentielle a rejeté cette autre accusation.
«Je n’ai même pas été à Cameroun (base de la CMIS Nº1). Ça c’était entre les militaires et la police, moi je n’ai pas été là-bas. Celui qui dit qui dit qu’il m’a vu à Cameroun il n’a qu’à montrer les preuves. Je n’ai pas été à Cameroun. Bien-sûr, ce temps-là, il y avait le président Lansana Conté qui était assis, on venait de finir notre situation de porte-parole, il y avait un gouvernement qui était là, tout le monde était là mais moi je n’ai jamais été à Cameroun, je ne sais même pas ce qui s’est passé là-bas, ça c’était entre l’armée et la police», a-t-il indiqué
TBD/ Louis De Funès Diallo, pour Mondemedia.info