Une rencontre s’est tenue ce mercredi 19 juin 2024, dans la salle des actes du palais du peuple entre les conseillers nationaux et les responsables du Syndicat Professionnel de la Presse de Guinée. Les échanges de cette rencontre étaient axés sur la crise qui mine le monde des médias depuis plus de 7 mois maintenant. Selon Sékou Jamal Pendessa, il n’y a pas beaucoup d’éléments à communiquer a la presse aujourd’hui parce qu’ils (Conseillers nationaux) sont dans une sorte de démarche qui vise a aboutir à la résolution de cette crise et de façon définitive.
«Comme vous le savez le CNT c’est l’organe parlementaire de la
transition qui s’est saisi du dossier après avoir constaté une crise qui perdure dans le domaine de la presse . Donc il était question d’appeler les différentes parties aujourd’hui pour avoir meilleure lecture de la problématique parce qu’on ne peut pas résoudre un problème si on ne maîtrise pas tous les aspects . Comme vous l’avez constaté il reçoit maintenant là les patrons aussi et nous avons donné beaucoup d’explications pour leur permettre de voir Claire, eux aussi se sont exprimé.
Pour aujourd’hui il n’y a pas beaucoup d’éléments à communiquer a la presse parce qu’ils sont dans une sorte de démarche qui vise a aboutir à la résolution de cette crise et de façon définitive. Donc il nous a été demandé d’aller travailler, faire un travail de réflexion sur la base de ce qu’on a dit ici et il aura certainement une autre rencontre. Déjà la démarche qui consiste a rencontrer toutes les parties concernées par la crise est a saluer parce-qu’on ne peut pas trouver une solution si on ne procéde pas ainsi. On a longuement exposé et ils se sont longuement exprimé, des propositions ont été faites y compris par des conseillers nationaux. Chacun de nous a pris bonne note, les pourparlers vont continuer…», a-t-il communiqué avant de poursuivre. «On s’attend a la suite des démarches parce que ce n’est qu’un début mais certainement la prochaine rencontre ne va pas prendre du temps. On s’attend a une sortie de crise c’est ce que nous avons toujours souhaité…», a souligné le secrétaire général du SPPG.
Fatoumata Diaraye Bah pour mondemedia.info