Le Président de la République professeur Alpha Condé a défendu en qualité de président de la FEANF les intérêts des étudiants africains en France face aux autorités françaises de l’éducation qui sont restées toujours à leur écoute dans le respect de leurs droits.
Il appartient au Président de la République chef de l’État d’écouter le SLEEG, accéder à leur demande, lever le blocage de leur salaire qui est sacré et destiné à la survie de leur famille, mettre fin à l’orgueil du gouvernement vis à vis des enseignants.
Ce corps avec les agents de santé et de sécurité méritent respect, considération et meilleurs traitements car leurs engagements et sacrifices pour la Nation sont stratégiques.
Monsieur le Président le pays perd trop et inutilement du blocage orgueilleux organisé volontairement par le gouvernement vis à vis de nos compatriotes enseignants.
Ils ont droit de grève, ils ont droit d’être respectueusement écouté et d’accéder à leurs revendications; Ils ont droit à la sécurité dans leur carrière; on ne peut pas leur substituer spontanément des vacataires.
La reprise normale des cours dans les écoles est une question de survie pour la Nation dans la perspective de la succession des générations.
Monsieur le Président de la république notre pays est en compétition avec ses voisins et à travers le monde, sur la première ligne de compétition il y a toujours les ressources humaines dont les résultats sont tributaires de la formation.
Si ces droits légitimes des citoyens sont injustement ignorés nos lois et les conventions internationales leur garantissent la résistance.
Honorable Elhadj Dembo Sylla Vice Président de l’Assemblee nationale premier vice-président de l’UDG