Manifestation des Forces vives de la nation ce 9 mars, le chargé des stratégies du FNDC et membre des Forces vives s’est prononcé dans l’émission “Mirador” ce mardi 7 mars 2023. Selon lui, si les religieux peuvent traiter ces questions avant le mercredi à 00 heures, la manifestation n’aura pas lieu.
«Au niveau des forces Vives, les différentes coalitions sont disposées à écouter, ces hommes de paix, ces religieux qui aujourd’hui, doivent incarner l’existence de notre nation. Nous serons à leur écoute. Nous avons des revendications…Les revendications des forces vives ont été soumises à ces religieux qui ont rencontré les différentes entités. S’ils peuvent traiter ces questions avant le mercredi à 00 heures, la manifestation n’aura pas lieu. Mais tu ne peux pas venir voir le plus faible, le dire de sursoir à l’exercice d’un droit naturel afin que le fort puisse continuer à le broyer chaque jour. Il n’est pas question et il ne sera pas question. Si nos revendications d’ordre préjudiciel ne sont pas prises en compte, rien empêchera la tenue de la manifestation du jeudi 09 mars 2023. La première, c’est la libération des otages détenus injustement et sans aucun procès du côté de la Maison centrale de Conakry et la seconde revendication préjudiciel, c’est l’ouverture d’un dialogue fécond sous la présidence de la CEDEAO. Si ces deux questions d’ordre préjudiciel ne sont pas levées avant le 09 mars, je ne sais pas en quoi on peut s’en tenir de la médiation faite par les religieux» a lancé Sékou Koundouno.
Fatoumata Diaraye Bah pour Mondemedia.info