“Ce 17 octobre marque un triste cap, les 100 jours de la disparition forcée de Foniké Mengué et Billo Bah.
Cent (100) jours sans nouvelles, cent (100) jours d’incertitude, cent (100) jours d’une absence insoutenable, cent (100) jours d’angoisse pour les familles. Cent (100) jours de mépris et d’indifférence de ceux qui gouvernent le pays.
Chaque jour qui passe est une épreuve atroce, inhumaine, pour leurs proches et pour tous les Guinéens épris de justice et de liberté.
Le machiavélisme ne doit pas l’emporter sur le droit à la vie. Si la justice est vraiment la boussole du Général Mamadi Doumbouya, il a là une belle occasion de le prouver.
J’exprime ma solidarité avec Foniké et Billo, réitère mon soutien à leurs familles et exige leur libération sans délai et sans conditions.”
TBD/ Louis De Funès Diallo, Pour Mondemedia.info