La chanson a pour but de toucher un maximum d’Ivoiriens avec un message de tolérance, notamment les jeunes, surtout ceux des quartiers défavorisés qui peuvent être facilement manipulés, estime la chanteuse de rap Nash. Aussi a-t-elle décidé de chanter en nouchi, un argot local. « C’est un langage qui est accessible à cette population des quartiers dits défavorisés. On leur demande de ne pas se laisser manipuler, de ne pas s’en prendre à leur voisin. Pensez à votre avenir, ne rentrez pas dans la politique, ça ne sert à rien d’utiliser la violence pour s’exprimer. »
Une chanson parrainée par le CICR et diffusée sur les réseaux sociaux et les radios locales depuis plus d’un mois, notamment à Yopougon, le quartier populaire en périphérie d’Abidjan, qui compte plus d’un million d’habitants, rappelle notre envoyée spéciale
RFI