D’abord, Elie Kamano a tenu à préciser qu’ils n’ont j’aimais demandé le départ du du ministre de la culture.
« Attention, nous n’avons jamais demandé le départ du ministre. Avant de répondre à Koundouwaka qui a organisé une conférence de presse mardi pour lui recadrer dans sa récente sortie.
« d’abord moi je ne rentre pas dans un débat avec quelqu’un qui n’a pas le même gabari intellectuel que moi. On a été très clair, collectif a un nom précis, un ensemble de leaders qui s’est fait appeler “collectif des artistes engagés pour le rayonnement de la culture” . Alors si toi, tu n’es pas dans ce collectif, ce n’est pas pour autant que tu vas Cissoko qui est le président de l’UNAMGUI, tout le monde n’est pas membre de l’UNAMGUI, Cissoko est décrié par plusieurs corporation de la culture, il le sait, parce que nous sommes allé lui rencontrer chez lui, les représentants de plus de 52 troupes, les balais privés, c’est moi qui ai fait venir ces gens chez lui parce qu’il était en désaccord avec ces gens », déclare t-il.
Dans leur sortie d’hier, le Président de l’UNAMGUI, Akra Cissoko, a déclaré qu’aucun artiste n’est venu lui voir pour porter des revendications à l’encontre du ministre de la Culture, une version que dément l’homme politique.
« On a remis à Cissoko nos revendications, on lui a dit d’aller voir Bill de Sam, et de lui dire en tant que premier responsable magistrat de notre département, de prendre au sérieux et de rencontrer les acteurs concernés pour trouver une autre. Mais qu’est-ce qui se passe, ils ont appelé une conférence de presse au sein dudit département où le ministre n’est même pas sorti par respect pour les artistes qui ont pris part à cette conférence », dénonce Élie Kamano.
Mondemedia.info